top of page

"Ce qui ne peut être évité, il faut l'embrasser"*

C'est l'histoire de Priscille Deborah, mère de famille, tout pour etre heureuse mais en profonde dépression post partum, est décidée à mourir et se jette sous les rails du métro .

Amputée du bras droit et de ses deux jambes.

Elle décide de survivre et de vivre.


Témoignage puissant, une renaissance et un accomplissement.


Elle dit : " Je dois etre en phase avec ce que je dois faire sur cette terre. "

Son accomplissement : une vie à réinventer et réaliser tous mes rêves et vers sa liberté.


C'est aussi un exploit scientifique et cérébral. Un projet exporté des Etats Unis.

La première femme bionique est française, avec de supers pouvoirs, la première à en profiter.

-"J'ai l'impression de faire partie du futur"


Priscille Deborah : "C 'est l'histoire du cerveau qui, en deux ans de rééducation, a dit à mon cerveau que je peux avoir un nouveau bras qui fonctionne. .. On peut dire à son cerveau que tout est possible et ça, c 'est valable pour tout le monde. On se dit souvent : "on ne peut pas le faire"

" on a peur!" Et pourtant , on peut le faire!"

"Ma prothèse de bras est commandé par mon cerveau. C'est dingue!" dit-elle en riant.

Mes nerfs sectionnés et remis dans le muscle ré innervé sur un schéma moteur logique avec mon cerveau et avec (son travail de ) visualisation . Je bouge mon bras, le cerveau envoie une idée d'ouvrir la main avec un travail de visualisation, le cerveau envoie une décharge électrique au nerf radial qui donne une impulsion au muscle, celui-ci se gonfle et du coup le capteur du muscle qui est en contact avec la prothèse, se déclenche et voila j'ouvre la main "


C'est grâce à son mental, sa force, et en pratiquant la visualisation* que son cerveau s'est entrainé à rééduquer les mouvements grâce à cette prothèse révolutionnaire.

Physiquement, elle se ré axe sur ses deux jambes et travaille sur les visualisations cérébrales. De plus, elle se donne toutes ses capacités pour être suffisamment détendue pour pouvoir penser, décider et ensuite faire.

Découverte, conquête et transformation ! Priscille Déborah est artiste peintre, mère de deux enfants et aujourd'hui debout et "jamais aussi entière".

"Ce qui compte , c'est de se relever et c'est ça qui fait de vous un héros. On avance pour soi et aussi pour ceux qui nous aiment. Ce sont nos moteurs "


Et la vie continue, elle a écrit un livre et performe dans l'art pictural.


Chapeau l'artiste !


Oriane de Buttet, sophrologue Versailles



La visualisation permet de prendre conscience de ses capacités

" La peine d'être vécue " de Priscille Deborah

* citation de William Shakespeare



bottom of page